Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (15) : Femme De Jean : Premier Véritable Adultère ?
Depuis le soir de notre mariage, jai « cocufié » mon mari Philippe un nombre incalculable de fois. Mais cela sest passé la plupart du temps dans le cadre candauliste pour lequel il mavait tant poussé, auquel javais longtemps résisté, avant de céder et de lui offrir ce quil avait tant désiré. Cela se passait parce quil lavait voulu et inspiré, sinon organisé et bien souvent en sa présence, pour son plus grand plaisir.
Ce qui sest passé avec Jean pendant une semaine ne se situait pas dans ce cadre. Dune part, Philippe nétait pas à lorigine de ma «mise à disposition». Il ne savait pas où jétais, ni avec qui. Et jai vécu une semaine avec un autre homme, me comportant en tous points, dans lintimité et en société, comme sa compagne. Cest pourquoi je considère que cette expérience est plus de ladultère que du candaulisme, même si cest le candaulisme de Philippe qui avait provoqué tout cela.
Christine et Rachid moffrent à Jean
Je pensais que Christine mavait voulu pour elle. Jétais tombée follement amoureuse delle et javais découvert dans ses bras tous les plaisirs du saphisme, même si javais déjà eu beaucoup dexpériences antérieures.
En réalité, je me suis vite aperçue quelle navait pas seulement assumé lenvie qui la taraudait depuis des années, elle sétait rapprochée de moi pour donner à son mari Jean, loccasion dune éclatante revanche sur son échec retentissant dil y a quelques mois.
Mes fidèles lecteurs se rappelleront quavec la complicité de Christine et de Philippe, Jean avait essayé de mentrainer vers mes penchants hypersexuels. Il avait lamentablement échoué, suite à une défaillance imprévue (voir récit numéro 7) et cela restait pour lui, comme pour Christine, une cruelle humiliation, dautant quau final, ce furent de parfaits inconnus, mes amants brésiliens, puis Rachid qui me firent enfin franchir le pas que je refusais obstinément.
Cela sétait passé il y a quelques mois, cela me paraissait si loin, maintenant que javais découvert que mon corps ne pouvait pas, ne pouvait plus se passer de plaisir, sous la houlette de mon amant Rachid et la complicité de mon mari candauliste, Philippe.
Le lendemain matin qui suivit notre longue soirée de débauche à quatre, Christine, Rachid, Philippe et moi, alors que Philippe était parti à son travail, nous étions encore dans le grand lit, Christine, Rachid et moi. Jétais en train de connaitre ma première saillie de la journée, alors que Christine me caressait et membrassait, quand le téléphone de Christine se mit à sonner.
Cétait Jean, le mari de Christine, qui venait aux nouvelles et surtout réclamait son tour. Christine passa rapidement le téléphone à Rachid, qui, tout en continuant à me baiser, me «négocia» avec Jean :
Bien entendu Jean, je nai quune parole, je sais ce qui sest passé, tu as le droit à ta revanche. Que lon sache quenfin Olga T est à toi. Je te la laisse à disposition ce week-end et toute la semaine.
Je pourrai en disposer comme je veux ?
Evidemment.
Me comporter avec elle comme elle si elle était mon épouse ? La prendre sans capote ? Jouir en elle ?
Je suis daccord. Je te lai dit, tu pourras disposer delle comme tu veux. Ca me plait beaucoup que tout le monde sache dans cette ville quelle putain est Olga T et que Philippe T est le plus grand cocu de cette ville. En contrepartie, je garde pendant cette période Christine pour moi et jen dispose entièrement.
Cest parfait. Amenez-moi Olga dès aujourdhui.
Et noublie pas, le week-end suivant, tu mas promis que tu organisais pour elle une soirée dont elle se souviendra longtemps.
Elle en sera la reine, et crois-moi elle ne loubliera pas.
Je tentais de protester, humiliée quon disposait ainsi de moi, sans mon accord, acceptant mal lidée dêtre séparée de Rachid pendant plusieurs jours et encore plus jalouse que Christine devienne, même pour une période limitée, sa femelle, prenant ainsi la place que je pensais mêtre réservée.
Rachid, tu ne me demandes pas mon avis ?
Non, Olga, tu es ma femelle et je dispose de toi comme je lentends.
Et si je ne veux pas ?
Comment oses-tu femme ? Je vais tapprendre à mobéir, sale bourgeoise. Tu es ma femelle, tu es ma putain, je fais de toi ce que je veux, je te prête à qui je veux, tu as compris ?
Rachid me fit mettre debout et, muni de sa ceinture, se mit à me gratifier de coups sur les fesses ; certains coups de ceinturons atteignirent mes seins, ma chatte. Javais mal, les larmes me coulaient, mais étrangement je ressentais un plaisir inconnu, jétais excitée dêtre ainsi traitée, dautant que Christine encourageait Rachid à y aller sans ménagement, à me punir :
Vas-y Rachid, plus fort, quelle sen souvienne.
Christine fouilla mon intimité et saperçut que jétais trempée.
Et en plus, elle aime ça, sa chatte est béante et elle mouille
Oui, Rachid, punis-moi, jaime ça. Je suis à toi, fais de moi ce que tu veux.
Nous avons ce qui lui faut dans notre maison de campagne. Elle va payer lhumiliation quelle a fait subir à Jean il y a quelques mois.
Malgré les marques rouges sur mes fesses et mon dos, Christine prit un soin tout particulier à me préparer pour son mari. Elle me maquilla soigneusement, épila ma chatte et mon anus, me fit mettre une robe fourreau très décolletée, dos nu, fendue jusquau haut des cuisses. Evidemment ni soutien-gorge ni string.
Jaurais voulu, avant de partir, une dernière étreinte avec Rachid, car javais été privée dorgasme ce matin. Rachid fut intransigeant, me disant quil voulait se réserver pour Christine.
« Premier adultère »
Jean nous accueillit dans le grand salon où je lavais laissé il y a quelques mois sur un retentissant et humiliant échec. Jean portait un costume élégant, je devinais son érection qui déformait son pantalon. Il était impatient de mettre fin à sa frustration et de posséder enfin la belle Olga T, qui sétait refusé lui.
Il donna un petit baiser sur les lèvres à Christine, le temps de lui dire « merci pour ton cadeau » une poignée de main à Rachid, lui disant « tinquiète, elle est entre de bonnes mains et la soirée promise sera torride ».
Je ne pensais déjà plus à Rachid et Christine, il y avait là un mâle, qui manifestait son désir de moi, je ne pensais plus quà une chose : être à lui. Je croyais être amoureuse de Rachid, je me rendais compte que la seule chose dont javais envie était dêtre possédée.
Jean neut aucune difficulté à faire tomber ma robe et je me retrouvais nue, offerte. Jean montrait à la fois une grande tendresse, sattardant sur mes seins si sensibles aux caresses et aux lèvres, et en même temps ses paroles me rappelaient que je nétais ici quune putain, gratuite certes mais mise à disposition de ce débauché.
Ah Olga, depuis le temps que jai envie de toi. Je naurais plus jamais de défaillance comme lautre jour. Le viagra fait des merveilles, tu verras.
Moi aussi jai changé, je suis devenue insatiable.
Disant cela, je ne cessais de caresser sa queue à travers le pantalon, avant douvrir la braguette pour sortir son bel engin et le masturber.
Je me rendis compte que cétait mon vrai premier adultère vis-à-vis de Philippe. Le soir de notre mariage, il était complice de mon étreinte avec Pierre et avait entendu mes ébats derrière la porte. Il avait été le complice du concierge Georges, comme de Rachid. De même, il avait eu «le son» de mes ébats avec les Brésiliens. Là, il nétait au courant de rien, personne navait pensé à linformer, encore moins à lui demande son avis. Jétais désormais à Rachid, qui disposait de mon corps et me mettait à disposition de Jean. Philippe avait ouvert la boite de pandore : il passait du statut de candauliste à celui de cocu.
Mais revenons à ce premier adultère avec Jean. Il me caressait le ventre et javais limpression tout doucement que la main bougeait. Sur le moment, cétait imperceptible mais sa main remontait.
Je pris la main de Jean dans la mienne et la monta pour la plaquer sur ma poitrine. Je poussais mes fesses en arrière pour bien faire sentir à Jean que jen voulais davantage. Jean passa ses doigts sur mes tétons tendus et javais des frissons partout dans le corps. Cétait super bon. Jean passait dun sein à lautre en les caressant doucement. Il les prenait et caressait tout le contour du sein pour finir par le téton. En moi, la réaction en chaîne attaqua mon bas ventre et je sentais mon sexe devenir brûlant. Je ne prêtais plus attention à Rachid et Christine qui mataient.
Quand je vois ça, disait Christine, je comprends pourquoi Philippe voulait tant loffrir à dautres hommes. Olga est encore plus belle quand elle a du plaisir
Oui, et pour celui ou celle qui la possède, cest un souvenir inoubliable. Retirons nous, pour ces prochains jours, elle est à Jean et rien quà Jean. Nous aurons toute loccasion dans 8 jours de la mater, avec Jean nous préparons une soirée exceptionnelle dont Olga sera la vedette.
Je ne prêtais plus attention à Christine et Rachid. Je ne pensais plus quà moffrir pleinement à cet homme qui allait, pas seulement me baiser, mais me faire lamour.
Je laissais Jean me caresser. Mon corps soffrait complètement et mes hanches oscillaient contre le sexe de Jean que je sentais contre mes fesses. Javais hâte que sa main découvre mon pubis fraîchement taillé. Jean devait être excité car il ne tarda pas à glisser sa main vers ma toison quil atteignit. Javais le ventre en feu. Quand la main de Jean alla encore plus bas vers mon clito, je nen pouvais plus, il fallait quil vienne sur mon bouton pour le prendre. Il était trop lent. Je nen pouvais plus dattendre. Jean en profita pour glisser un doigt sur mon clitoris gonflé de désir. Il réussissait à créer une multitude de stimuli qui faisaient monter mon excitation à un point que le plaisir arriva comme jamais. Je tremblais de partout et je ne retenais plus du tout mon corps. Je me surpris toute seule à pousser un cri qui ressemblait plutôt à un râle long et rauque. Je venais davoir mon premier orgasme de la soirée.
Jean se colla contre moi, dans mon dos et je sentais sa chaleur. Ma vulve fut envahie par le sexe de Jean. Mes chairs sécartèrent pour laisser entrer le sexe de Jean qui me pénétrait doucement. La sensation, ou je devrais dire les sensations étaient extraordinaires. Dun coup, cest mon corps qui fit le mouvement en arrière pour faire entrer Jean plus loin en moi. Je poussais un gémissement de bien-être tellement la pénétration était délicieuse. Jean senfonçait en moi encore plus loin.
Je glissais sur le ventre et Jean écrasa son bassin sur mes fesses pour me pénétrer complètement. Il commença des allées et venues avec une lenteur qui donnait le temps à chaque sensation de se déverser en moi. Je nétais pas seulement baisée, je faisais lamour et cétait exceptionnel. Ma vulve était comprimée par le sexe de Jean.
Mon bassin se tendait en arrière pour créer une pénétration différente et des frottements sur lavant ou larrière de mon vagin. Les électrisations de mon clito ajoutées à la pénétration de mon vagin me lançaient des ondes de plaisirs jusque dans le fond de mon esprit. Jean me prit par les hanches et me demanda de me redresser. A quatre pattes, Jean attrapa ma poitrine qui pendait de tout son poids et continua à me pénétrer. Le changement de position changea aussi les sensations et les frottements. Je poussais des « hummmm » langoureux à chaque fois que le sexe tapait dans le fond de mon vagin. Je sentais un nouvel orgasme monter doucement en moi.
Jean accéléra au même moment et je dû me retenir pour ne pas tomber en avant. Les spasmes de lorgasme menvahissaient et Jean senfonça complètement en moi. Je sentais son sexe pulser et une pointe de chaleur chauffa le fond de mon ventre. Jean sagitait dans tous les sens en moi et il était comme secoué par des spasmes qui le faisaient taper au fond de mon vagin. A chaque coup de boutoir, une décharge électrique se diffusait en moi et dès le début de lagitation de Jean en moi, mon corps répondit aussitôt dans un orgasme terrible qui me fit trembler. Jean poussa plusieurs grognements et je me joins à lui dans les cris et les gémissements. Mes bras fléchirent. Jean continuait dêtre en moi et il me caressait les seins doucement.
Jean recommençait à bouger dans ma chatte qui en redemandait. Maintenant que javais goûté à son sexe, quil avait joui en moi, je nallais pas laisser passer loccasion den avoir plus! Jétais complètement cambrée avec mon bassin basculé en arrière pour que Jean puisse me pénétrer complètement. Jean me chuchota dans le creux de loreille : « Je taime ma chérie, tu es vraiment merveilleuse ! » Jean se redressa pour sagiter en moi. Ses mouvements étaient fermes et vifs.
Après léjaculation de Jean en moi, il me titilla le clitoris pour ne pas me laisser en reste. Je glissai ma main sur mon sexe et toucha le sexe gonflé de Jean dans mon sexe. Jean eut lair dapprécier et sentir entre mes doigts son sexe humide entrer et sortir de ma féminité déclencha en moi un enchaînement de vagues de plaisirs. Finalement, Jean sortit de moi et sallongea à côté de moi. Je le regardais haletant et complètement en sueur. Il me donna un baiser et je fermais les yeux tellement cétait bon de lembrasser.
Philippe « cocu humilié et godé »
Ce jour-là et la semaine qui suivit furent des jours dadultère, Philippe ne sachant pas où jétais. Quand il rentra à la maison, il trouva Rachid en train de faire lamour à Christine et demanda où jétais. Rachid lui répondit :
Je lai prêtée quelques jours, jen fais ce que je veux, elle est à moi. Mais ne tinquiète pas, elle est entre de bonnes mains, elle est bien baisée, comme elle aime. Je la récupérerai, je nen nai pas fini avec elle, elle a encore plein de choses à connaître. Je veux que désormais elle se consacre entièrement au plaisir.
Je sais quelle est à toi, cétait convenu comme ça. Mais tu pourrais au moins me dire où elle est, ce que tu as fait delle. Je pourrai aller à la police signaler sa disparition. Jose espérer que tu ne las pas mise sur le trottoir.
Notre petite expérience à lhôtel près de la gare a montré quelle est très crédible en pute. Et je suis certain quelle ferait du chiffre et quelle aimerait ça. Je napprécie pas tes propos et tes menaces, espèce de fiote ! Tu dois assumer ton statut de cocu et tu vas être puni pour ce que tu mas dit. Sache seulement que tu la reverras le prochain week-end et quune surprise a été préparée. Ça devrait lui plaire et à toi aussi. En attendant, tu seras puni, tu ne toucheras pas Christine et on va te donner une bonne leçon. Regarde ce que jai acheté, cest pour toi !
Ce qui se passa ensuite me fût raconté par Philippe et je dois avouer que jaurais aimé voir ça et être à la place de Christine. Depuis le début de notre relation, javais deviné que Philippe était un homo refoulé et je lui avais souvent doigté et godé le cul. Je le faisais dautant plus souvent ces derniers temps que javais bien lintention moi aussi de réaliser mon fantasme et donc que mon mari se fasse sodomiser par mon amant.
Rachid déballa un gode-ceinture dont la taille était bien plus importante que celui que jutilisais avec mes amantes ou avec Philippe.
Jai promis à Olga que je tenculerai devant elle. Je respecterai ma parole. Mais il faut quon te prépare à ton dépucelage. A poil ! Christine va te casser le cul avec cet engin
Philippe tenta en vain de résister. Rachid, bien plus fort que lui, le maîtrisa. Sous la menace de coups, il se laissa déshabiller. Rachid lui attacha les mains par devant et le fit mettre à quatre pattes, pendant que Christine séquipait du gode-ceinture.
Je vais préparer son anus avec de la vaseline. Je vais y aller doucement même si je sais que tu as déjà lhabitude quOlga te gode. Rachid, tiens les jambes du cocu près de sa tête. Oui comme cela. Je crois que je peux commencer directement avec trois doigts. Avec de la crème, il ny aura pas de problème. Hummm oui tu sens, ça entre tout seul.
Humm oui, enfonce moi cest bon, encore ouiiiii tu as raison, avec la crème ça entre tout seule. Mets en quatre sil te plait. Doucement, ouii
Bien laisse toi aller, laisse-moi prendre possession de ton trou. Comme cela.
Christine doigtait Philippe avec passion. Ses doigts entraient et sortaient de son cul.
Replace-toi sur le dos, les jambes relevées sur ton visage. Je veux te voir jouir, petit pédé.
Il se plaça comme Christine le souhaitait. Elle força dun coup son passage anal pour lembrocher jusque la garde de son gode. Philippe, ainsi empalé, hurlait de douleur.
Philippe ma dit ensuite quil sentait ce gode lui fourrer le cul avec force. La douleur était remplacée peu à peu par autre chose, il devenait fou, alors que Rachid le couvrait dinjures et bandait devant le spectacle. Christine prit les choses en mains et défonça le cul de Philippe à grand coups de gode. Mon mari couinait comme pas possible en en redemandant.
cest si bon, vas-y baise moi. Encore ouiiiiii cest bon, faites de moi une salope, une chienne, comme mon Olga, ouiiii enfonce moi profond, ouiii narrête passsssss !
Christine, notre maitresse à tous les trois, prenait Philippe comme une folle. Elle lui défonçait le cul avec une rage terrible.
Comme lavait prédit Rachid, cette séance fit que Philippe mit plusieurs jours à sen remettre. La taille de lengin et la brutalité de la sodomisation lavaient blessé. Mon pauvre mari dut subir lhumiliation dun passage aux urgences. Mais Il avait lui aussi franchi une nouvelle étape.
Femme de Jean
Pendant près dune semaine, jai vécu avec Jean. Il se montrait avec moi très tendre, attentionné, comme un mari, comme Philippe se comportait, mais mapportait en plus toute la satisfaction quexigeait ma libido. Pendant ces quelques jours, il ma couvert de cadeaux, veillant à compléter ma collection de tenues sexy, choisissant toujours ce quil y avait de plus indécent.
Nous avons passé beaucoup de temps chez lui, à faire lamour. Le reste du temps, nous sortions en ville et dans les soirées mondaines. Il était évident que Jean voulait que la bonne société de la ville sache que nous étions amants et plus peut-être. Ceux qui connaissaient bien Jean et Christine ne sétonnaient pas, car ils savaient que cétait un couple libertin. Quant à moi, ma réputation nétait plus à faire. Et pourtant ces journées ont encore détérioré mon image et celle de Philippe dans la ville. Jentendais les propos tenus derrière moi, presque à voix haute :
Vous avez vu cette trainée ? Dire quil y a quelques mois elle jouait les vierges effarouchées.
Elle a toujours été une putain. Un ami à moi était invité à son mariage avec T. Je peux vous dire que cétait incroyable. T a été cocu dès sa nuit de noces, au su et au vu des invités.
Et moi on ma dit quelle était devenue la putain dun jeune beur du quartier ouest, qui sest installé chez eux !
Vous avez vu cette robe ? Cest pire que si elle était nue. Le dos est nu jusque la naissance des fesses, la robe est tellement décolletée que les seins sont presque dehors et vue comme elle est fendue, tout le monde se rend compte que cette catin na pas de culotte.
En plus, à cette soirée, nous rencontrâmes deux collègues de travail de Philippe, Olivier et Serge. Ils ne manquèrent pas de demander des nouvelles de Philippe, disant quil avait été absent quelques jours et était revenu avec des difficultés pour marcher et pour sassoir. Jean se contenta de leur dire que Philippe avait laissé entièrement carte blanche à mon amant Rachid et que celui-ci mavait mise à sa disposition.
Les paroles que javais entendues mavaient inquiété pour Philippe. Rachid avait exigé que je ne lui téléphone pas pendant toute cette période, afin de tester jusquoù il était prêt à aller.
Jean se contenta de me dire que Christine lui avait tout raconté et que je devais pas minquiéter, Rachid navait pas encore enculé Philippe. Christine lavait seulement un peu besogné afin de le préparer à passer prochainement à la casserole. Je répétais à Jean que je ne voulais en aucun cas quon fasse du mal à Philippe, quil était mon mari et que je laimais.
Ne tinquiète pas. Lui et toi vous avez voulu tout ce qui sest passé. On ne vous oblige à rien. Tu nas quun mot à dire et on arrête tout.
Pas question, tout cela me plait, je ne veux pas revenir en arrière.
Le pire fut en effet cette soirée à lopéra où Jean réserva une loge privative, la plus belle du théâtre, mais où nous étions au vu de tous. Dès le début de la représentation, Jean me demanda de massoir sur ses genoux, sortit mes seins pour les prendre à pleines mains et me demanda de mempaler sur sa queue.
Mais, on va nous voir, ce sera un scandale.
Mais je veux quon sache ce que tu es, Olga. Une petite salope qui ne pense désormais plus quà aucune chose : se faire sauter. Dailleurs je sais que ça texcite, lidée de te faire baiser dans cette semi-obscurité, avec la crainte ou lespoir quon le remarque.
Oui cest vrai, jaime ça !
La défaillance de Jean me semblait bien loin car, ce soir-là il fut incroyablement résistant. Sans perdre de vue lopéra qui se déroulait, il me besognait. Je ne me souciais plus de lendroit où nous étions, je ne pensais plus quau plaisir quil me donnait. Et bientôt je ne pouvais plus retenir mes cris, multipliant les orgasmes, mes gémissements de plaisir étant de moins en moins discrets.
Un huissier vint nous faire part de plaintes, mais Jean le rabroua fermement, rappelant quil était dans une loge privée, la plus chère du théâtre et quil était par ailleurs le plus important sponsor de létablissement.
Pour me finir, je demandais à Jean de me prendre en levrette, moi appuyée sur la balustrade de la loge. Mon ultime jouissance, le moment où Jean éjaculait puissamment en moi correspondit à la fin de lacte et au moment où les lumières se rallumaient. Le scandale fut si important que, malgré limportance du soutien que lui apportait Jean, le théâtre se vit contraint de mettre fin à cette coopération. Mais javoue que cette situation mavait particulièrement excité et que javais pris un pied incroyable.
Je me sentais comblée. Jétais étonnée que Rachid et Christine ne me manquent pas et je comprenais que mon attachement à eux était physique. Le seul qui me manquait vraiment cétait Philippe. Je savais quil serait présent à ce fameux week-end dont on mavait annoncé que je men souviendrais longtemps. Rien que pour le revoir, jattendais cette fameuse soirée avec impatience.
(A suivre : gang bang et rencontre avec Marie)
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